• Tiken Jah Fakoly Zimbabwe (Live)

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  • Karim Sama, plus connu sous son nom de scène Sams’K Le Jah, est un musicien de reggae, animateur radio et militant politique basé au Burkina Faso. Durant son adolescence, il est membre des Pionniers de la Révolution, le mouvement de jeunesse créé par le capitaine Thomas Sankara, révolutionnaire anti-colonialiste et figure du Mouvement des non-alignés, qui a dirigé le pays entre 1983 et son assassinat, le 15 octobre 1987. Membre du Mouvement rastafari et sankariste convaincu, Sams’K Le Jah se revendique de l'héritage de Sankara et d'Haïlé Sélassié.

    Il anime un programme musical sur Radio Ouaga FM, dans lequel il exprime aussi fréquemment ses opinions politiques. En 2007, alors qu'il vient de donner un concert appelant à la liberté de la presse au Burkina Faso et à ce que justice soit faite pour Norbert Zongo (journaliste retrouvé brûlé vif dans sa voiture à Sapouy alors qu'il enquêtait sur la mort suspecte du chauffeur du frère du Président Blaise Compaoré), la voiture de Sams’K Le Jah est brûlée sur le parking du studio de Ouaga FM et il reçoit plusieurs menaces de mort.

    Sams’K Le Jah co-fonde en 2013 Le Balai Citoyen, un mouvement politique populaire, avec le rappeur Serge Bambara dit « Smockey ». Ce mouvement entend lutter contre la corruption politique et s'est illustré par son opposition au gouvernement de Blaise Compaoré, parvenu à la tête de l'État suite au renversement et à l'assassinat de Thomas Sankara en 1987. Sams’K Le Jah devient l'une des figures de proue de la contestation lors de la deuxième révolution burkinabè, qui contraint Compaoré à abandonner le pouvoir et à fuir le pays le 31 octobre 2014, après plus de 27 ans de règne. Il soutient ensuite la transition menée par le CNT (Conseil National de Transition), tout en appelant ses compatriotes à rester « vigilants et en alerte maximale, pour ne laisser personne voler la victoire du peuple souverain ».


  • Bonne Année GoodYear ! (Zêdess)

    "Licenciement"

    Zêdess

    avec la participation de Massilia Sound System

    (Album "Sagesse africaine")

    paroles et musique : Zêdess

    Mais qui sera là pour consommer les produits que les multinationales

    auront mis sur le marché ?

    Vu la vitesse avec laquelle elles foutent tous les potentiels acheteurs à la rue,

    ou je suis idiot (Ce qui n'est pas un scoop),

    ou alors l'ultralibéralisme porte en son sein

    les germes de sa propre destruction ... Zêdess

     

    Les multinationales nous embauchent,

    Elles s'en mettent plein les poches,

    Puis un jour, comme une vieille chaussette,

    Dans la poubelle, elles nous jettent ...

     

    Il a donné vingt ans de sa vie

    A bosser dans une entreprise.

    Un beau matin avec mépris et sans préavis,

    On le fout dehors pour prévenir une éventuelle crise ...

     

    Les conséquences sociales, les sociétés s'en foutent !

    Le patron a une calculette à la place du coeur.

    L'employé se suicide, le patron continue sa route,

    Comme une vieille chaussette, le travailleur n'a plus de valeur.

     

    Il y a ceux qui gagnent leur vie en travaillant

    Et ceux qui s'enrichissent en faisant autre chose.

    Et ça, ça ne peut pas continuer longtemps,

    Faut pas s'étonner si un jour ça explose ...

     

    Le travailleur vit en permanence sur un siège éjectable,

    Du privé au public, personne n'est à l'abri.

    Des familles entières vivent des drames insupportables,

    Le patron, tout fier, ajuste sa cravate et sourit ...

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  •  Association Survie France

    http://survie.org/

    http://survie.org/publications/brochures/article/petit-guide-de-la-francafrique

    Un peu d'histoire avant de partir ...

    Choisissez la destination ... Algérie, Bénin, Burkina-Faso, ...

    Choisissez le guide ... Jacques Foccart, François Mitterrand, Jacques Chirac, ...

    Chosissez votre voyagiste ... Areva, Total, Bouygues, Bolloré, ...

     

    Survie Rhône

    http://survie.69.free.fr/

     

    Say it loud ! Survie

    Fréquences éphémères

    featuring Jacques Foccart, De Gaulle, Omar et Ali Bongo, Jacques Chirac,

    "Elf, la pompe Afrique", spectacle de Nicolas Lambert

    "La grosse commission"

     

    Say it loud ! Survie

     

    Apkass

    "Du riz et des armes"

     

    Say it loud ! Survie

    Say it loud ! Survie

     

    C’est l’histoire d’un marchand d’armes français

    Répondant au nom de Tirailleur.

    Un nom prédestiné me direz-vous, d’ailleurs ...

    Son grand père était poilu en 14-18, mort à Verdun.

    Bref, Tirailleur, Jean-Pierre de son prénom, a deux passions :

    L’Afrique et les armes.

    Des armes de tous calibres qu’il écoule en Afrique.

      

    Activité juteuse, pour lui le fric

    N’a pas d’odeur.

    Il ne fait pas d’état d’âme, peu importe où vont les armes.

    Il les vend au plus offrant, après tout ce ne sont que des armes ...

    Il se fout de leur usage, des dommages, des carnages,

    Ces morts par milliers, tout ce sang qu’il propage,

    La seule chose qui compte à ses yeux, c’est la marge,

    Le bénéfice net, l’intérêt qu’il dégage.

    Business is business, dit un vieil adage ...

      

    Quand Tirailleur se frotte les mains, ça sent l’orage.

    Un conflit éclate et Jean-Pierre plie bagage,

    Son catalogue en main,

    Le carnet de commandes toujours plein.

      

    La conjoncture est bonne, le marché en pleine croissance.

    Compte en banque suisse et bateau de plaisance,

    Un train de vie royal, Tirailleur est aux anges.

      

    Le téléphone sonne, annonce un coup d’état,

    Une sécession au nord, une émeute qui éclate.

    A l’autre bout du fil, Jean-Christophe éclate de rire :

    Un marché de plus vient de s’ouvrir !

    Les nouvelles sont bonnes, un peuple va souffrir,

    La vie est belle, même si sombre est l’avenir.

      

    Le Biafra, exemple typique du paradoxe :

    Des enfants meurent de faim

    Et Jacques Foccart se frotte les mains.

    Des mercenaires en armes débarquent au Nigeria

    Exploiter la misère pour introduire des armes.

    Au nom du pétrole et des dollars qu’il engendre,

    Un million d’innocents ont vu leurs vies réduites en cendres.

      

    Images saisissantes, ces enfants squelettiques,

    Aux ventres gonflés, pleins d’un vide dramatique.

    C’est la famine verte.

    Non pas que les terres soient stériles,

    Mais les mines et la guerre empêchent de cultiver.

    Ils voient leurs récoltes pourrir sous leurs yeux ...

    Pire, ils voient leurs enfants mourir sous leurs yeux.

    Enfances sacrifiées, les Sozaboy pullulent.

    Armés jusqu’aux dents, la bataille promet d’être rude.

      

    C’est la guerre et son cortège d’inhumanité,

    Un monde dans lequel prospère Jean-Pierre.

    Une courbe des ventes florissante,

    Un marché en croissance, soutenu par la politique de la France

    Qui tient à garder l’Afrique sous influence.

    Le nerf de la guerre, la désinformation,

    Ils acheminent les armes sous couvert d’humanitaire.

    C’est bon pour les affaires et ça soulage les consciences.

    L’opération turquoise en est un parfait exemple ...

      

    Alors, allez-y, faites comme ils ont dit :

    Envoyez donc du riz,

    Mais, maintenant, vous savez

    Que dans les sacs se cachent aussi des armes ...

      

    Apocalypse annoncée au 20 heures, ouvrez vos coeurs !

    Donnez du riz à tous ces enfants qui meurent !

    Pendant ce temps, les armes coulent à flot par le même canal ...

      

    La solution est avant tout politique, avant d’être humanitaire … 

     

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  • Mali Ko

     

    Mali Ko !

     

    Il est temps que nous nous exprimions !

     

    Il est temps que nous parlions de notre Mali !

     

     

    Maliens et Maliennes, donnons-nous la main,

    Car notre pays n'est pas un pays de guerre.

    Que se passe-t-il au Mali ?

    Paraît que nous sommes en train de nous entretuer,

    De nous trahir, de nous diviser.

    N'oublions pas que nous sommes tous du même sang.

    Le jour où nous nous donnerons la main

    Le continent africain sera plus fort.

    Le Mali n'appartient pas à ces gens-là,

    Ce grand pays ne sera la proie de personne.

    Montrons au monde entier que le Mali est un pays de paix.

    Nous sommes tous du même père et de la même mère.

    Mali, mon beau pays, qu'es-tu devenu ?

    Tu as été le soleil qui a illuminé les quatre coins du Monde.

    Mali, sèche tes larmes, nous t'aimons.

    Il est temps que nous nous exprimions !

    Je n'ai jamais vu de situation aussi désolante,

    Ils veulent nous imposer la Charia.

    Allez leur dire que le Mali est indivisible !

    Le Grand Mali est devenu comme un mégot de cigarette,

    Chaque jour, on n'entend que des mauvaises nouvelles ...

    Il faut se ressaisir sinon on sera la risée du Monde.

    Le Mali est un pays hospitalier et accueillant,

    La guerre nous fait perdre toutes nos valeurs.

    Ecoutez-moi bien !

    Prenons garde sinon nos enfants auront honte demain.

    Tant qu'il y a la vie, reste l'espoir !

    Enfants du Mali, levons-nous !

    Que deviendront les femmes et les enfants ?

    Je suis inquiète, j'ai peur ...

    Le seul chemin de sortie, c'est l'entente !

    Soyons unis, Peuple Malien, l'union fait la force !

    Arrêtons nos divergences.

    La guerre n'a jamais été une solution.

     

    Mali, tous ensemble !

     

    Mali indivisible !

     

    Mali, tous unis !

    La paix n'a pas de prix.

     

    La guerre n'épargne ni hommes, ni femmes, ni enfants.

     

    Qui pouvait imaginer une telle situation au Mali ?

     

    Au moment où les Maliens pensaient à leur stabilité,

    D'autres cherchent à tout bouleverser.

    Dans le nord, la population a faim.

    Nos soeurs sont devenues des marchandises.

    Elles sont battues et violées.

    Et d'autres ne pensent qu'à eux-mêmes.

    Maliba, comme l'ont toujours appelé nos ancêtres,

    Mali, ne reste pas à genou !

    Relève-toi et bats-toi pour honorer les ancêtres !

    Ensemble, l'Afrique ne sera que plus forte.

    Avec plus d'avenir !

     

    Mali, notre grand pays,

     

    Qui a toujours été un pays de paix et d'hospitalité,

     

    Soyons unis !

     

    Je m'adresse aux militaires et aux politiciens :

     

    Maliens, c'est l'union qui fait la force !

     

    Ne laissons pas notre grand pays nous échapper ...

    Unissons-nous pour retrouver notre stabilité !

    Réveillons-nous, nous sommes du même sang,

    Donnons-nous la main !

    On est apprécié du Monde entier,

    Pourquoi s'entredéchirer devant ces mêmes personnes ?

     

    Soundiata Keita nous a légué des valeurs.

     

    Ne les bafouons pas !

     

    Dans l'entente, le pays peut se développer,

    Personne ne viendra nous déstabiliser,

    Et nos enfants auront un avenir.

    On veut la paix, la paix !

    Au Mali, la paix !

    En Afrique, la paix !

    Dans le Monde entier, la paix !

     

     

     

      

    On veut la paix, la paix !

     

    Au Mali, la paix !

     

    En Afrique, la paix !

    Dans le Monde entier, la paix ! 


  • Projet Bassi Bonga

    http://www.afrikheur.net/spip.php?article16

     

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  • Zêdess (2)

    Souriez, Parisiens !

    Zêdess - Album "Sagesse africaine"

    Zêdess (2)

     

    C'est l'histoire d'un petit Négro d'Afrique

    Qui débarque à Paris pour la première fois ;

    Tous les monuments sont vraiment magnifiques,

    Ils avaient du goût nos ancêtres les Gaulois !

     

    Mais le petit Négro se souviendra toujours

    De sa première journée dans le métro ...

    La tronche des Parisiens toujours à la bourre,

    La gueule qu'ils tirent en allant au boulot ...

     

    Refrain

    Souriez !, Parlez-vous ! Parisiens,

    Nous ne sommes pas dans un corbillard.

    Souriez !, Parlez-vous ! Parisiens,

    Ca détend, ça fait du bien les gars !

     

    Zêdess (2)

     

    Pour certains, la vie est dure sans confiture ...

    D'autres la rendent molle rien qu'avec du pain !

    Y'en a qui ne sont jamais contents de rien, c'est sûr ;

     Un sourire, c'est efficace, et cela ne coûte rien ...

     

    Y'a pas meilleur antidépresseur

    Qu'une tape amicale dans le dos.

    Tu peux trouver un moment de bonheur :

    Dis bonjour à ton voisin dans le métro !

     

    Moi le petit Négro,

    Venu du Burkina Faso,

    Demande à toi, Parigot,

    De décoincer un peu dans le métro !

     

    Zêdess (2)

     

    Refrain

     

    Aujourd'hui, je rentre chez moi au village

    Où la vie est dure, c'est vrai ...

    Mais il y a du soleil sur les visages

    Et ma case un véritable palais !

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  • Deux titres du burkinabè de Koudougou, Zêdess

      

    L'idéologie qui consiste à aller choisir ce qu'il y a de meilleur dans un autre peuple

    me rappelle une image pas très glorieuse de l'histoire de l'Afrique : la traite négrière ...

    On peut ne pas aider les gens

    mais on n'a pas le droit de les mépriser.

    Les agitateurs de peurs n'ont jamais rendu service à leur peuple.

                                                                                                                    Zêdess

      

    Zongo Seydou, alias Zêdess, a enregistré son premier titre en 1990,

    pour le deuxième album de l’Orchestre de l’Université de Ouagadougou (OUO). 

    Mais c’est en 1992, avec sa première cassette intitulée Y’a plus de boulot,

    qu’il va vraiment faire parler de lui !

    Zêdess y raconte la galère des jeunes burkinabè, et il fait mouche ;

    c’est le début d’une ouverture au Burkina, les radios fleurissent sur la bande FM,

    les journaux satiriques apparaissent dans les kiosques,

    et Zêdess s’engouffre dans la brèche…

     

    En 1995, il récidive avec un album beaucoup plus ambitieux. 

    Embouteillage, enregistré à Abidjan. 

    Il continue à raconter avec humour la vie ouagalaise

    et à dénoncer les vices des sociétés africaines. 

    Il devient le chanteur le plus populaire du pays,

    et fait même en 96 une tournée à guichets fermés

    dans toutes les grandes villes du Burkina. 

    Pour la jeunesse, il incarne une nouvelle génération de musicien,

    et un espoir. 

    Il ouvre également les portes des grandes radios internationales

    qui diffusent sur le continent, et sa popularité commence à dépasser

    les frontières du Burkina. 

     

    La musique de Zêdess allie le reggae, avec son langage international,

    au folklore burkinabè et ses rythmes traditionnels warba ou wiré. 

    Ce mélange lui permet de toucher le public le plus vaste :

    les jeunes, amateurs de reggae et les plus anciens.

     

    La langue a aussi pour Zêdess beaucoup d’importance :

    s’il a choisi le français, c’est aussi pour élargir son public. 

    Ce sont ses textes qui sont la première raison de son succès ;

    textes dans lesquels les Burkinabè reconnaissent leur quotidien (que Zêdess connaît bien),

    les problèmes de fin de mois, les bagarres avec une administration tatillonne,

    les amours compliqués… 

    Pour raconter leur histoire, il mêle l’humour à son sens de l’observation ;

    tout à tour satirique et moralisateur,

    Zêdess croit au rôle du chanteur pour transformer patiemment la société

    dans laquelle il vit.

     

    En 1997 il sort la troisième cassette "Où allons –nous ?".

    Zêdess poursuit dans la même veine contestataire. 

    Les titres Directeur Voleur et Abus d’Autorité dénoncent la corruption

    et les séquelles de la colonisation qui ont engendré des régimes

    pas tout à fait démocratiques. 

    Mon Voisin est un con aborde un thème de société plus large pour ne pas dire universel !

     

    En 1998, le label Lusafrica propose à Zêdess de réunir

    ses meilleurs titres remixés sur un album. 

    Une des chansons du CD est produite à la demande de Handicap International,

    qui souhaite impliquer des artistes dans son combat contre les mines antipersonnel.

     

    Après une tournée en été 1999 en Europe,

    Zêdess sort son deuxième album international

    Accroche toi en septembre 2000.

     Avec son nouvel album, Zêdess porte toujours son regard lucide/amer

    mais néanmoins plein de tendresse et d’humour sur ses contemporains

    d’où qu’ils viennent. 

    Il suffit d’écouter le titre La France comme une mobylette

    sur lequel Zêdess « épingle » joyeusement la société française

    pour se persuader qu’il mérite bien sa réputation de « Poil à gratter ».

     

    En 2003, Zêdess participe à l’enregistrement d’une compilation (« Drop the debt »)

    au côté d’artistes tels que Césaria Evora Ticken Jah, Lokoua Kanza, …

    avec le titre Cadeau empoisonné. 

    Ceci pour soutenir l’annulation de la dette du Tiers - Monde.

     

    www.zedess.com

     

     

     

    Sans commentaires ...

    Mais qui sera là pour consommer les produits que les multinationales auront mis sur le marché ?

    Vu la vitesse avec laquelle elles foutent tous les potentiels acheteurs à la rue,

    ou je suis très idiot (Ce qui n'est pas un scoop !),

    ou alors l'ultralibéralisme porte en son sein

    les germes de sa propre destruction ...

                                                                                                                        Zêdess


  • Zao et Maître Gazonga

    "Les Jaloux Saboteurs" Maître Gazonga et l'International Challal

    album enregistré à Abidjan en 1984

    Petite anecdote à propos de Gazonga :

    En 1984, Maître Gazonga et son groupe Challal avaient trouvé un moyen de partir en tournée

    à travers le Tchad tout en étant convenablement payés.

    Gazonga sachant que dans les zones rurales les gens sont souvent pauvres,

    n’ont pas d’argent mais malgré tout veulent s’amuser,

    le groupe donnait des concerts pendant plusieurs mois dans toutes les régions du Tchad

    où les villageois pouvaient payer avec ce qu’ils avaient :

    du sorgo, du riz, du poisson séché, des poulets, des haricots…

    Et les concerts eurent ainsi beaucoup de succès !
    Et pendant que le groupe allait de village en village,

    deux camions faisaient des aller-retour avec la capitale N’Djamena

    pour vendre au marché une partie des produits récupérés,

    l’autre étant directement donnée aux familles des musiciens.

    L’argent ainsi récupéré permettait de payer les salaires et avec les profits réalisés,

    ils pouvaient répéter le reste de l’année et enregistrer de nouveaux titres. Génial, non ?

     

     

    Zao et Maître Gazonga

     

    "Ancien Combattant" Zao

     

    Chanson créée en 1969 par le musicien malien Idrissa Soumaoro

    et reprise par Zao

     

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  • NAMA Jacky

    "Possédé" Nama Jacky de Sapouy

     

    "Sini Noon" Nama Jacky de Sapouy

     

    Nama Jacky

     

     

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